Le chemin de ma vie a naturellement traversé de nombreuses tribulations avant de déboucher sur un monde intérieur toujours plus confiant. Mon engagement sociétal en découle tout naturellement :
Réenchanter notre société.
Tendre vers l’avènement d’un monde apaisé et confiant,
au cœur ouvert, relié par la joie plutôt que la peur.
L’esprit qui m’anime est mon amour de la Vie, des humains et de la nature, ma vulnérabilité apaisée ainsi que l’expérience subjective d’une dimension de la Vie agissante par-delà de notre conscience.
Au service de cet engagement, j’offre un accompagnement, individuel et collectif, pour permettre à chacun de faire ses propres traversées, retrouver sa paix intérieure et garder son coeur ouvert. Je mets en œuvre mon expérience personnelle et professionnelle dans les axes suivants :
- La psychologie des profondeurs de CG JUNG, l’écoute de l’inconscient créateur et l’activation d’états de conscience élargis propices à la guérison psychologique et spirituelle
- La psychologie corporelle, les troubles psychosomatiques et les perturbations du système nerveux face au stress
- L’écologie spirituelle, la rencontre avec le monde vivant de la Nature et l’écoute de ses messages
Je soutiens votre guérisseur intérieur.
Je vous apporte un cadre de protection dans vos traversées sombres, une écoute des manifestations de votre âme derrière vos remises en question, une résonance active à votre monde intérieur. Tout le long de ce travail, je m’appuie sur de profondes racines formatives ainsi que sur la présence bienveillante du monde invisible.
Françoise BACQ
Psychologue et thérapeute de l’âme.
Chercheuse spirituelle et passeuse.
Quel est le problème du monde ?
— Quel est le problème du monde ?
— Vous avez rompu votre connection avec l’Esprit.
Notre société « augmentée » par les technosciences et l’intelligence artificielle doit, à même proportion, s’élargir intérieurement et retrouver le sens de la poésie et de la dimension subtile de la Vie. Ce qui ne va pas sans traverser ses ombres et ses chaos intimes.
Quatre attitudes m’apparaissent essentielles pour garder le cap d’un monde réenchanté :
Retrouver la sagesse de son corps
Sacraliser la vie, ses seuils et ses tournants
Renouer avec le monde naturel
Écouter les appels de son âme
Atmavictu ?
Ce mot, qui n’appartient à aucune langue, est venu à Carl Gustav JUNG alors qu’il sculptait les images qui l’habitaient, pour mieux en saisir le sens.
À l’âge de 10 ans, il tailla une première fois, en bois, cette figure humaine inconnue. À 45 ans, il la reproduit, en pierre, et la plaça dans son jardin.
Ce n’est que beaucoup plus tard, à la fin de sa vie, que le sens de ce rituel répété s’éclaircit.
C’est à ce moment-là que l’inconscient m’en suggéra le nom, appelant cette figure Atmavictu, souffle de vie… l’impulsion créatrice.